Comment calculer les droits aux congés
Employés qui ont travaillé pendant moins de 12 mois :
Si un employé a travaillé pendant moins de 12 mois, le calcul est simple. Ils devraient recevoir 8 % de leurs gains bruts depuis qu’ils ont commencé à travailler, moins tout congé annuel pris à l’avance ou payé par répartition. Vous devrez également payer tous les avantages contractuels dus.
Employés ayant travaillé plus de 12 mois:
Pour quelqu’un qui a travaillé plus de 12 mois, cela devient un peu plus compliqué. Dans ce cas, les droits au congé de l’employé seront composés de trois éléments:
- Tout congé annuel dû
- Tout congé public ou autre congé dû
- Tout congé annuel accumulé
Qu’est-ce que le congé annuel accumulé?
Le congé annuel accumulé est le congé qu’une personne gagne jusqu’à ce qu’elle obtienne son plein droit de quatre semaines. La Loi de 2003 sur les jours fériés stipule que les employés n’ont droit qu’à leurs quatre semaines de congé annuel tous les 12 mois, de sorte que les congés accumulés sont un outil utile pour vous montrer comment vos employés progressent vers leur plein droit à quatre semaines.
Imaginez que quelqu’un occupe un rôle depuis 18 mois. Si leur emploi prenait fin à ce moment-là, ils recevraient leur droit à quatre semaines à 12 mois, et en fait six mois de congé accumulé dans leur paie finale. Tout congé annuel qu’ils avaient pris à l’avance serait soustrait de leur solde de congés.
Comment calculer l’accumulation de congés annuels pour la paye finale
Décomposons ce calcul en quatre étapes:
- Calculez les gains bruts de l’employé à partir de la date à laquelle il a reçu son dernier congé annuel jusqu’à la date de fin de son emploi.
- Additionnez la valeur des congés annuels, jours fériés et jours fériés non utilisés dus à ces gains bruts.
- Calculez 8% de cette somme.
- Soustrayez tout congé annuel pris à l’avance ou payé par répartition.
Quelque chose à surveiller
À la cessation d’emploi, le dernier jour de travail d’un employé est théoriquement prolongé par tout congé annuel non pris. Il s’agit de déterminer si un employé a droit à des jours fériés qui tombent dans cette période prolongée. Il n’a rien à voir avec les délais de préavis et est différent de la date de résiliation du contrat de travail.