7 façons d’aider une victime d’abus

Si quelqu’un vous parle d’avoir été maltraité, il peut être difficile de savoir quoi dire et quoi faire pour vous aider.

Essayez d’être sensible au fait que la victime peut avoir honte de la situation et gardez à l’esprit qu’il a fallu beaucoup de force et de courage à cette personne pour partager cela avec vous.

Voici sept conseils d’Emerge! Center Against Domestic Abuse, un fournisseur de services et de programmes de prévention des abus basé à Tucson, sur la façon d’aider une personne victime de violence:

Demandez de l’aide: Il est NORMAL de ne pas avoir toutes les réponses. Si vous ne vous sentez pas à l’aise de parler de l’abus ou si vous ne savez pas quoi dire, vous pouvez orienter la personne vers une ligne de crise ou un centre de sensibilisation. Le numéro d’urgence sans frais Emerge est le 888-428-0101. En faisant preuve de soin et de soutien, vous pouvez démontrer le respect que cette personne mérite.

Soyez soucieux de la sécurité de la victime: Exprimez votre préoccupation pour le bien-être de la personne. L’offre de numéros de téléphone ou d’un endroit sûr où séjourner montre qu’il existe des ressources disponibles même si la personne ne choisit pas de quitter l’agresseur pour le moment.

Croyez-les: Ne discréditez pas ou ne niez pas l’histoire ou les allégations d’une victime. Votre réaction pourrait avoir un impact sur la décision de parler de l’abus aux autres.

Ne leur dites pas quoi faire : les victimes d’abus se sont déjà vu retirer une grande partie de leur pouvoir. Il est important de leur redonner une partie de ce pouvoir en les encourageant à prendre leurs propres décisions.

Ne confrontez pas l’agresseur : cela mettra probablement la victime en danger. Sur cette même note, gardez ce que la victime vous dit confidentiel. N’envoyez pas d’e-mails ou ne laissez pas de messages téléphoniques indiquant que vous savez quoi que ce soit sur l’abus.

Respectez les choix : c’est aux individus de faire des choix de vie. Essayez d’aider la victime à décider quoi faire et soutenez cette décision, même si vous n’êtes pas d’accord.

Dites-leur que ce n’est pas de leur faute : de nombreuses victimes se sentent responsables de ce qui leur arrive. Évitez de faire des déclarations ou de poser des questions qui pourraient contribuer à blâmer la victime, telles que « qu’avez-vous fait pour rendre votre partenaire si fou? »

Émergez! Le Centre contre la violence domestique fournit des services d’urgence, y compris une ligne téléphonique bilingue 24 heures sur 24 et un abri d’urgence. Il offre également des services à l’enfance, des programmes de stabilité du logement et de l’éducation et de la prévention communautaires.

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